Mittwoch, 6. Oktober 2010


Du gibst mir manchen Stoß zu meinem kranken Herzen, cet amour sacré de la patrie, cet amour plus sublime et plus saint de l’humanité, sans lequel une grande révolution n’est qu’un crime éclatant qui détruit un autre crime, elle existe, cette ambition généreuse de fonder sur la terre la première République du monde,

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